This is the end

that's all folks

Pendant la pause estivale j’ai bien réfléchi et ma décision est prise.

J’arrête définitivement ce blog.

Fin 2010 j’avais laissé de temps en temps chez Syl. un billet de lecture. Puis Syl. avait confectionné à mon insu un blog douillet dont elle m’avait offert les clés (quelle gentille façon de me forcer la main !).

J’y ai pris grand plaisir, j’ai même décidé de m’émanciper et je suis passée chez WP en créant moi-même, de mes blanches mains, ce petit salon.

Mais voilà, je ne trouve plus le temps, je n’ai plus l’énergie, et je dois bien le dire, si j’ai toujours plaisir à lire vos billets, je n’en ai plus autant à rédiger les miens.

Je ferme donc.

Mais c’est sans regrets parce que je ne retiendrai que le positif de cette aventure. Grâce à Syl., j’ai découvert la blogo et certains blogs m’ont beaucoup apporté.

En fréquentant vos salons de lecture j’ai fait de magnifiques découvertes, notamment avec les mois anglais et américains chez Titine, et le mois belge chez Anne (mais pas que !). Ma Pal et ma Lal en témoignent. 😉

C’est sûr, je continuerai donc de temps à autres à aller  faire un tour chez vous pour glaner de nouvelles idées de lecture.

Et puis, et ça, j’étais très loin de l’imaginer, j’ai fait de belles rencontres sur la blogo. Certaines ont d’ailleurs débouché sur des amitiés dans le monde réel, et vont continuer j’espère.

Merci à celles et ceux qui ont eu la gentillesse de passer par ce modeste salon, voire de s’y attarder.

Et à bientôt peut-être sur vos propres blogs si généreux en propositions de belles lectures.

the end

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Blog en vacances

Aujourd’hui, vacances, enfin !  et en plus il fait beau et chaud…j’aime la chaleur !

J’ai des envies de farniente,

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de siestes, là

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ou là

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Passez vous aussi un bel été.

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Mois anglais 2015, clap de fin

Le mois anglais 2015

Le mois anglais est terminé.

Merci les filles (Titine, Lou et Cryssilda) d’avoir encore une fois suscité l’envie de lire, de voir, d’écouter.

Je n’ai fait qu’une petite participation, mais c’était encore avec grand plaisir.

–  De la poésie et de la chanson avec John Downland et Sting

– Un petit Anne Perry, Le crime de Parangon Walk

Les premières aventures de Sherlock Holmes

– Une expo à voir jusqu’au 19 juillet Les Tudor

– Une femme qui voit son univers s’écrouler Un autre amour

– Une autre femme qui pète les plombs avec La femme qui décida de rester une année au lit

– Un retour dans mon adolescence avec la série Elisabeth R (ça date un peu, mais mon adolescence aussi !)

– Une BD à lire absolument Le singe de Hartlepool

– Encore de la chanson avec Shade, Tanita Tikaram et Queen

Il ne me reste plus qu’à prendre le temps d’aller fouiner chez les participants de ce très riche mois pour allonger encore une fois ma LAL.

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Pour finir en musique

Le mois anglais 2015

Pour terminer le mois anglais (je n’ai, comme d’habitude, pas lu autant que j’aurais voulu), voilà une petite plongée dans la chanson des années 80 (clin d’œil à l’ami Mind The Gap).

Le hasard m’a remis en tête des airs que j’aimais bien dans les années 70 et 80.

Tout d’abord deux chanteuses anglaises d’origine étrangère.

Shade avec Smooth operator en 1984

Tanita Tikaram (un nom qui sonne  comme une formule magique) avec Twist in my sobriety en 1988.

Et Queen, le groupe dont je ne me lassais pas, avec Rapsodia Bohemia en 1975 (wouah ! les coiffures et les costumes !)

Tu vois Mindounet ,  je n’écoutais pas que des cantiques !

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Le singe de Hartlepool

le singe couvLe singe de Hartlepool – Wilfrid Lupano (scénario) / Jérémie Moreau (dessins)

Attention ! Gros coup de cœur !

 

 

 

 

 

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Quel plaisir que cette lecture, tant pour le dessin à la fois rude et délicat de Jérémie Moreau que pour l’histoire concoctée par Wilfrid Lupano.

Etrange de penser que cette histoire est inspirée d’un fait réel.

Voyez-vous-même !

Pendant la guerre entre Napoléon et le reste de l’Europe, un navire français vogue près des côtes anglaises. A son bord un chimpanzé, Nelson, que le capitaine a déguisé en officier et à qui il a appris à imiter Napoléon.

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Le navire fait naufrage au large de Hartlepool, village où les habitants n’ont jamais vu un Français. Alors quand dans les débris du navire ils trouvent un être vivant, petit, aux bras immenses, couvert de poils de la tête aux pieds, et qui n’émet que des grognements incompréhensibles, ils sont persuadés qu’il s’agit d’un officier français et qui plus est espion.

Le pauvre singe va être enfermé, torturé, avant d’être jugé (à charge bien entendu), et exécuté.

le singe 2

J’ai souvent ri durant cette lecture.

Ri aux dialogues fleuris des Anglais et aux situations grotesques. Mais plus le récit avançait, plus l’émotion était forte de voir ce que ce pauvre singe subissait. Je me suis même surprise à avoir honte d’avoir souri à certaines images.

Chaque étape de l’humiliation et de tortures que subit le singe est amenée avec intelligence. Les tortionnaires sont stimulés par la foule. une chose entraîne une autre et tout dégénère. Je ne m’attendais vraiment pas à cette fin.

C’est à une bêtise sans nom qu’on assiste, celle qui trouve sa base dans l’ignorance. Celle qui nourrit le racisme ordinaire et qui mène parfois à la barbarie.

A lire absolument.

Le mois anglais 2015

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Elisabeth R

ER affichePendant la visite de l’exposition Tudor, j’ai repensé à une série anglaise que j’ai vue l’été 1974 ! Ben, oui, ce n’est pas tout jeune !

C’était en noir et blanc (on n’avait pas encore la couleur chez nous en 1974), et j’avais été fascinée par cette série, par les costumes, la reconstitution historique, par les intrigues de cour, par cette reine au destin incroyable ! Et par quelques scènes qui m’avaient donné des cauchemars pendant longtemps.

En y repensant, j’en avais encore des frissons.

A l’heure d’Internet je me suis dit qu’il devait être possible de retrouver les références de cette série avec la très particulière Glenda Jackson.

J’ai fait mieux que ça, j’ai retrouvé la série complète sur YouTube. Génial Internet !

J’ai tout revisionné et…. c’est fou ce qu’on peut être impressionnable quand on est jeune !

Noir et blanc (la version d’origine est en couleurs, bien mieux pour les costumes), mise en scène très théâtrale (ça m’a fait penser aux Rois maudits), très peu d’action, beaucoup de dialogues et rien de ces scènes de torture qui m’avaient traumatisée. Tout était suggéré dans les dialogues en fait.

J’ai quand même revu l’ensemble avec plaisir.

Le format série laisse le temps d’installer les personnages, les intrigues. A l’époque je n’avais certainement pas compris toutes les références politiques et historiques. Aujourd’hui, je peux faire le tri entre la vérité historique et les libertés prisent par le scénariste.

Glenda Jackson est impressionnante dans cette version. Quelle présence ! Elle est parfois touchante, fragile, mais le plus souvent terrifiante et redoutable.

Elisabeth R

Si le cœur vous en dit, à vous de plonger dans la grande époque élisabéthaine.

Attention, c’est en anglais, sans sous-titres, mais ça ne peut pas faire de mal.

Le mois anglais 2015

 

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La Femme qui décida de passer une année au lit

la femme qui décidé de passer une année au litLa Femme qui décida de passer une année au lit (The woman who went to bed for a year) – Susan Towsend – traduction de l’anglais de Fabienne Divigneau

Eva a cinquante ans, elle est mariée à Brian, astronome, et a deux jumeaux surdoués (Brain junior et Brianne, quelle imagination !).

Le jour où ces deux cerveaux partent pour l’université, elle rentre chez elle, remarque une tache de soupe à la tomate sur un fauteuil qu’elle avait retapissé elle-même. Et là, c’est la goutte (de soupe ?) qui fait déborder la casserole le vase.

Elle monte dans sa chambre et décide de ne plus quitter son lit.

Dépression à cause du départ de ses chérubins du nid familial ? C’est ce que tout le monde va penser. Son idiot de mari en premier qui s’inquiète surtout de son petit confort. Mais qui donc va tenir la maison, préparer ses repas ? Il trouve que son égoïste de femme exagère vraiment.

Pourtant, le malaise d’Eva est profond. Elle ne pleure pas le départ de ses enfants. D’ailleurs elle dit : « dès l’instant où ils sont nés, j’ai compté les jours qui restaient avant leur départ à l’université ! Je me sentais esclave de deux extraterrestres. Je ne souhaitais qu’une chose : me mettre au lit toute seule et y rester aussi longtemps que je le voudrais ».

Voilà, ils sont partis et elle tient sa promesse.

Ce roman très drôle pourrait être simplement une anglaiserie sur une femme au foyer qui craque et dont l’entourage réagit plus ou moins bien, avec nombre de personnages incongrus.

Mais c’est plus que cela.

Sue Townsend dresse le portrait d’une femme au foyer qui en a assez du manque de considération de sa famille, mais aussi du mal-être du monde. Elle a toujours été soumise, effacée, mais là, elle décide pour elle-même et son refus de quitter son lit va faire changer les relations qu’elle a avec son entourage mais aussi avec l’extérieur.

Car cette situation étrange ne manque pas d’interroger le voisinage et même plus loin.

Une foule va finir par faire la queue sous sa fenêtre en attente de conseils, ou simplement de la voir, telle une sainte.

On pourrait croire que de son lit (allez, disons un 140×200), son univers se rétrécit. Et bien non ! Elle rencontre plus de gens, échange plus d’idées, qu’elle ne l’avait fait durant toute sa vie à l’extérieur.

Au final cette histoire a priori loufoque met en évidence les travers de la vie moderne et le manque de communication à l’échelle d’une famille, d’un quartier, d’une ville et plus loin encore.

Il y a des scènes jubilatoires comme la préparation de Noël. Bran se rend compte (ou pas totalement d’ailleurs) du marathon que peut représenter l’organisation de cette fête où chaque année, épuisée, Eva devait faire bonne figure devant sa petite famille d’égoïstes.

Un roman sympathique et original avec des personnages variés et des situations parfois très drôles, mais j’aurais pu me passer de bon nombre de pages où les situations s’étirent à n’en plus finir.

Un bon moment de lecture quand même.

Une citation à méditer :

Les études montraient que le cerveau des hommes était sensiblement plus gros. Une main féminine avait annoté en marge : « Alors, pourquoi ces salauds d’hypercérébrés sont-ils incapables de se servir de la brosse à chiottes ? »

Le mois anglais 2015

 

 

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Un autre amour

un autre amourUn Autre amour (Loving him) – Kate O’Riordan – traduit de l’anglais par Florence Lévy-Paoloni.

Comme son nom l’indique Kate O’Riordan est irlandaise.

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Matt et Connie ont laissé les enfants à la maison et se sont offert un séjour à Rome. En amoureux pourrait-on croire.

Pourtant Connie rentre seule à Londres. Matt a retrouvé par hasard une connaissance (son premier grand amour) et comme elle vient de vivre un drame, il dit ne pas avoir le courage de la laisser seule.

De retour chez elle, Connie ne sait que faire. Entre incompréhension et honte elle décide de ne rien dire à ses enfants ni à son entourage.

Que se passe t-il ? Sa vie parfaite s’écroule. Elle qui semblait avoir tout réussi. Elle a épousé celui qu’elle aimait depuis toujours, elle a une belle maison, trois beaux enfants et elle a monté une petite entreprise de cartes de vœux.

On pourrait dire qu’il ne se passe rien dans ce roman. Pourtant, Kate O’Riordan m’a fait plonger sans une minute d’ennui dans la vie de ces personnages « normaux ».

« Normalité », seulement en apparence. L’auteur nous fait découvrir petit à petit que pas un des personnages n’est ce qu’il semble être au départ. Et la plus grande surprise viendra de Connie.

  1. O’Riordan fait entrer dans l’intimité de ses personnages avec beaucoup de pudeur. On assiste en même temps que Connie à l’effondrement de son couple, mais pas seulement.

Il se joue beaucoup plus que cela dans ce roman.

Les relations de couples, relations familiales ou d’amitiés sont observées et décortiquées avec finesse.

Mais le véritable propos reste une réflexion sur la vie qui passe, la vie qu’on aura manquée, ou peut-être ratée.

Jamais ce roman ne tombe dans le pathos grâce à l’écriture sensible et subtile de Kate O’Riordan.

Je préfère le titre original qui donne une meilleure idée de la personnalité de Connie.

 

Le mois anglais 2015

 

 

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Les Tudors

tudorspageexpoLes Tudors

Musée du Luxembourg jusqu’au 19 juillet

C’est à travers l’art du portrait que cette exposition fait entrer le visiteur.

Grâce à des portraits somptueux, des archives et quelques objets personnels, nous traversons une époque importante de l’histoire de l’Angleterre qui a vu passer cinq monarques (six si nous comptons la très éphémère Jane Grey qui n’a régné que 9 jours).

A cette époque, les portraits servaient d’instruments politiques. Ils montraient la magnificence et la richesse des souverains et permettaient d’installer leur pouvoir et leur autorité.

On peut le voir dans le portrait du jeune roi Edouard Ier, fait sur le modèle de son illustre père.

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Vous voyez la ressemblance ?
Vous voyez la ressemblance ?

 

 

 

 

 

 

C’est durant le long règne d’Elisabeth 1ère  ,  45 ans, que l’Angleterre a gagné son statut de plus grande puissance européenne. Et la souveraine entendait que cela se sache !

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La victoire sur Philippe II d’Espagne et sa soit disant invincible armada aura grandement contribué au rayonnement de l’Angleterre sous Elisabeth 1ère. Elle en fait un acte de propagande dans ce très beau tableau qui la représente somptueusement parée, croulant sous les ors et les bijoux, la couronne, symbole de son autorité, bien en évidence, et dans le fond, les navires de l’armada vaincue.

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Ce portrait la montrant toute puissante, presque venant du ciel, amenée par Dieu, et foulant les territoires conquis, est un véritable message de propagande à l’intention de ses sujets et des autres souverains. C’est pour moi le plus beau tableau de l’exposition. La finesse des détails des bijoux et des étoffes est remarquable. On croirait presque pouvoir toucher la douceur du tissu.

Mais il n’y a pas eu que des guerres de  pouvoir et des conquêtes, c’est aussi sous son règne que les arts s’épanouissent, avec notamment le grand William Shakespeare.

On retient souvent l’image de Henry VIII et de ses six femmes, et d’Elisabeth, la reine vierge. Mais ils étaient bien plus que cela. C’est aussi pourquoi ils ont tant fasciné les auteurs que ce soit en littérature, au théâtre ou au cinéma.

On retient surtout l’image d’Henry VIII vieillissant, gros, et laid. Mais il est décrit comme ayant été un beau et robuste jeune homme, pour preuve ce tableau.

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Certes, les canons de la beauté ont changé depuis…

Je ne peux que vous conseiller d’aller faire un tour au musée du Luxembourg. Il y a des visites spéciales pour les familles et également des visites en anglais si ça vous tente.

Je n’en ai pas terminé avec les Tudor car pendant ma visite, j’ai repensé à quelque chose que j’avais vu étant ado. Je vous en parle bientôt.

mois anglais 2015

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Les premières aventures de Sherlock Holmes – L’ombre de la mort

les premières aventures de sherlockLes premières aventures de Sherlock Holmes – L’Ombre de la mort – (Young Sherlock Holmes) Andrew Lane – traduit de l’anglais pas Marie Hermet

Je n’ai jamais lu Arthur Conan Doyle et je ne connais donc son fameux Sherlock Holmes que par les diverses adaptations cinéma, télé, théâtre ou BD.

Rien de sa jeunesse.

C’est cette facette du célèbre détective que Andrew Lane va explorer.

Dans ce premier opus (apparemment il y en a déjà 4 de publiés), nous faisons la connaissance de Sherlock alors qu’il a 14 ans. C’est l‘été et les vacances ne s’annoncent pas comme prévu. S’il n’a rien contre le fait de quitter son pensionnat où il ne s’est fait aucun ami, il comptait bien rentrer chez lui.

Mais voilà, en l’absence du père militaire parti en campagne, sa mère, malade, ne peut s’occuper de lui. Son frère Mycroft est également dans l’incapacité de se charger de lui, sa vie et son travail à Londres ne lui laissant aucun temps libre.

Le pauvre Sherlock va donc devoir passer son été chez un oncle et une tante qu’il ne connait pas.

On ne peut pas dire qu’il soit bien reçu dans cette famille étrange. Il ne les voit qu’aux repas et est prié de se faire oublier. Quant à la gouvernante, elle est aussi accueillante que Mrs Danvers dans Rebecca.

Sherlock sent qu’il va s’ennuyer à mourir mais la rencontre avec son précepteur, M. Crowne et Matty (un gamin qui fait penser un peu à Hucckleberry Finn) va enfin le sortir de sa mélancolie. La jolie et énergique fille de Crowne ne sera pas pour rien dans ce regain d’énergie !

La découverte de deux cadavres et d’une étrange fumée noire va tous les occuper un bon moment.

Bon, rien de bien palpitant dans cette aventure qui voit le jeune Sherlock faire ses armes de détective. Il est redoutablement intelligent, comme son frère Mycroft, mais on découvre que ses dons d’observation et de déduction lui viennent des leçons données par son précepteur.

Je suppose qu’on en apprendra plus dans les prochains épisodes sur le passé de ce M. Crowne, ainsi que sur la gouvernante, personnage menaçant mais laissé un peu en plan au cours de l’histoire.

Un point positif ? Oui. L’atmosphère de l’époque et les détails de la vie quotidienne de l’Angleterre du XIXème siècle sont bien rendus.

Vous l’aurez compris, j’ai lu sans déplaisir mais ce premier épisode ne m’a pas vraiment donné envie de lire la suite.

Le mois anglais 2015thrillers et polars 2014-2015

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